Bellzouzou, Pensées profondes, livre XIII verset 126:
"Un blog, ce n'est pas ce qui vous arrive. C'est ce que vous choisissez de dire de ce qui vous arrive, et comment vous le dites."
Bellzouzou, Pensées profondes, livre XXIV verset 777:
"Tout est vrai, seul le reste est (peut-être) faux."
samedi 21 avril 2007
Je vais reviendre.
vendredi 20 avril 2007
En vrac.
mercredi 18 avril 2007
J'ai été zémue (j'étais bien la seule).
(Oui, j'ai une vie trop palpitante, vous me l'enviez certainement derrière votre écran.)
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mardi 17 avril 2007
L'art de mettre les pieds dans le plat.
lundi 16 avril 2007
L'histoire de la pauvre mère*.
Hélas, trois fois hélas, si la pauvre mère oye oye misère se lamentait in petto (car dans l'exercice de ses fonctions elle avait pu vérifier mille fois qu'il fallait que l'enfant fût maître de ses apprentissages et que c'était en pâtissant qu'on devenait pâtisseron), c'était de penser à l'état dans lequel elle allait retrouver sa cuisine après les travaux pratiques, rien que d'y penser elle en avait mal au crâne, d'ailleurs elle s'en alla honorer son armoire à pharmacie par précaution.
Précaution qui s'avéra totalement inutile puisque non seulement le gâteau semblait fichtrement réussi, mais que, ooooooooh surpriiiiiiiiiiise, le divin enfant avait fait place (à peu près**) claire et nette derrière lui.
La pauvre mère, oye oye misère, dût reconnaître que le résultat était tout simplement
Et comme dans les meilleurs films à suspens, ce n'est qu'in extremis, dans les toutes dernières secondes, au moment de passer à table et aux réjouissances et alors qu'elle se croyait sauvée que la pauvre mère oye oye misère il était écrit que sa vie ne serait qu'un nid d'épines eut enfin le fin mot de l'histoire.
Quand son fils ce héros distribua sans vergogne à l'assemblée interdite ce tract printanier:
* Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite, (mais qu'est-ce que vous allez encore imaginer?)
** Parce que c'est pas non plus l'histoire de Caroline Ingalls que je vous raconte, là, les gens, hein.
vendredi 13 avril 2007
Des pommes, des poires..
Misère.
Si bien que non seulement j'ai l'odeur des scoubidous dans les trous de nez et ça schlingue sa race croyez-moi, mais qu'en plus j'en rêve la nuit, pauvre de moi, de saletés de scoubidous carrés à 8 fils et de scoubidous ronds à 6 fils, de boucle simple et de boucle double, de noeud caché et d'arrêt arrondi et je n'en suis encore qu'au premier châpitre, les grands classiques de Scoubidou folies, hein.
Ah mère de famille c'est pas couleraoule tous les jours, vous savez.
jeudi 12 avril 2007
So girlie.
mercredi 11 avril 2007
Jardinière en peau d'lapin.
mardi 10 avril 2007
Ma vie romantique.
D'ailleurs, souvent le lendemain du jour où je lui ai dit que j'aimerais bien que quelque fois, il m'en offre.
Quand je lui fais remarquer que j'aime aussi les surprises qui surprennent, et qu'il aurait pu attendre au moins une semaine avant de s'exécuter, il dit que je ne suis jamais contente et il boude.
(Notez bien que je trouve sa réaction très injuste puisque jamais je ne commets l'erreur très fatale de lui faire remarquer que le bouquet n'a pas dû lui coûter trop cher vu qu'il vient du libre-service de chez Rapid*flor' où les bouquets ne valent pas plus de 3 € et que d'ailleurs on peut vérifier tout de suite puisque que le prix est encore dessus mon Amour.
Je ne suis pas folle, les gens, je sais bien que là, je n'aurais plus de bouquet de ma toute entière laïfe, de chez Rapid*flor' ou d'ailleurs, et ça m'embêterait bien, parce que quand même, mes bouquets sont tout pourris-moisis, mais pour le principe j'y tiens, hein.)
(on ne ricane pas).
Sinon, l'autre jour, j'avais aussi un mot d'amour.
(Je trouve que les petits coeurs bien symétriques de chaque côté sont du plus bel effet et font oublier tout le reste, -ne venez pas me dire que ses coeurs ressemblent à des fesses, je ne trouve pas, moi-)
vendredi 6 avril 2007
Qui se la pête dur?
jeudi 5 avril 2007
Appelez-moi Madame Propre.
J'ai bien quand même une petite idée générale, genre que ça va être cradinque dans les petites et dans les grandes largeurs que même la bête féroce ne s'y trompe pas et n'y pose pas les coussinets, style:
(Sous vos applaudissements nourris, merci.) *
*(modeste) après 1 heure 59 de rangement méthodique, 1 heure 59 de décrassage frénétique, 1 heure 59 de nettoyage intensif, c'est quand même bien normal. D'ailleurs, plus nickel chrome, ça se peut pas.
Mais vous pouvez m'appeler madame propre quand même, hein.
mercredi 4 avril 2007
Je m'abstiens le bon bout.
Mon ours est dans l'ensemble un gentil garçon.
Attentionné, sensible, intelligent, sensuel, généreux (oui, je l'ai trouvé dans une huitre).
Mais c'est un homme quand même, hein, et un ours de surcroit, il ne faudrait peut-être pas l'oublier.
Ce qui lui donne le droit d'être aussi très désagréable quand il le veut.
Notamment quand je ne vais pas bien.
Un mal de tête et l'ours me regarde par en dessous, un petit rhume et il refuse que je m'approche à moins de trois mètres cinquante de lui et pas avant qu'il ait préalablement posé son masque sur ses naseaux.
Quand j'ai eu mon panaris, il n'a pas voulu que je cuisine ou que je touche à son assiette jusqu'à complète guérison - et encore: j'ai (presque) dû lui fournir un certificat médical.
Alors vous imaginez l'état de l'ours la semaine dernière quand j'ai eu un oeil de grenouille uuuultra contagieux .
C'est bien simple: il ne voulait même plus que je le regarde dans les yeux.
Plus grave: il exigeait que je dorme à la plus lointaine extrémité du lit c'est limite s'il ne m'a pas demandé d'aller dormir sur le canapé, j'ai bien vu qu'il hésitait quand même à me le demander, on oubliait le petit bisou pour se souhaiter la nuit bonne et douce va sans dire, et je ne vous parle même pas de la bête rugissante à deux dos.
Autant vous dire que j'ai eu la paix, tiens.
Royale, même.
Avis aux amateures.
mardi 3 avril 2007
Parlez-moi d'amour, dites-moi des choses tendres....
lundi 2 avril 2007
ça y est: je suis déjà presque morte.
Mais là, je crois que je touche le fond de la solitude d'une mère au moment fatal de sa vie: l'inscription à l'école de sa toute petite dernière née c'était hier mon bébé elle est encore si petite aaaaaah plaignez-moi les gens.
(et l'an prochain, je me pends en direct live pour l'inscription de Brisefer en 6ème, j'ai déjà tout prévu, vous serez invités).