
Avec pour aromatiser l'ensemble un quittage de la plusse chouette école du monde avec des collègues qu'elles et moi on était comme des coeurs dans la même culotte, pour un arrivage dans une usine école de (beaucoup de) classes avec des collègues que certaines d'entre elles, quand je leur ai serré la main en les rencontrant pour la première fois fin juin, j'ai cru voir dans leurs yeux comme une serpillière sous prozac, je vous jure. (Pis ce jour funeste, j'ai aussi appris que plusieurs d'entre elles faisaient les récrés à des heures différentes pour ne pas avoir à se croiser, et ça, c'est l'ambiance que j'aime, vous vous doutez bien. Pis aussi que dans cette école ils aimaient bien les réunions à répétition et à rallonge pour se regarder dans le blanc des zoeils -en chien de faïence et entre serpillères sous prozac, donc.)
Mais comme j'ai décidé d'être toute positive attitude, j'ai décidé de ne pas me plaindre.
Pas trop, en tous cas.
(Ceci dit, vous pouvez le faire en commentaire, hein.)
Allez, c'est pas tout ça, mais: A la rentrée de ceux qui en ont! (c'est sincère, quoique désespéré)*.
* De toutes façons, j'ai comme l'impression que Puceminus les trouve trop longues, ces grandes vacances, puisque pas plus tard qu'hier soir, elle m'a demandé si "Quand elles seront finies, les grandes vacances, est-ce que tu seras vieille???"