Bellzouzou, Pensées profondes, livre XIII verset 126:
"Un blog, ce n'est pas ce qui vous arrive. C'est ce que vous choisissez de dire de ce qui vous arrive, et comment vous le dites."

Bellzouzou, Pensées profondes, livre XXIV verset 777:
"Tout est vrai, seul le reste est (peut-être) faux."

dimanche 26 janvier 2025

Vrac, micmac et foutrac du dimanche soir.


Un chouette petit weekend de derrière le tas de bois, avec l'anniversaire de Puce(plus si)minus en famille, et du bébézou mignon en guest star, quoi demander de plus, hein?* Comme si ça ne lui suffisait pas d'être facile à vivre, grosse dormeuse, serial liseuse (je jure) et par conséquent de ressembler trait pour trait à son Papizou (côté caractère, donc, hein, parce que pour ce qui est du physique, elle a sans conteste hérité de la grande beauté de sa Mamizou)(tu te doutes), Bébézou possède désormais un petit maillot de bain pour accompagner bientôt son grand-père à la piscine, héhé.

 

* peut-être juste une semaine à venir un peu plusse drôle qu'elle n'en a l'air, vue du dimanche soir (des réunions, des livrets à remplir, des collègues absentes et non remplacées, du mauvais temps)? je voudrais rêver un peu, donnez-moi juste un peu d'air. A défaut: du chocolat.)

mercredi 15 janvier 2025

Brève d'école.

Pendant les heures de classe, on est souvent dérangé*. Au moment même où j'essaie de comprendre ce que me dit de façon inespérée Onasime qui jamais d'habitude ne prend la parole, paf, on sonne au portail et c'est la maman de Léocrisse qui vient la chercher pour sa séance d'orthophonie, et un quart d'heure plus tard, Onasime ne veut plus rien me dire, j'ai de la colle plein les doigts, et on sonne de nouveau, c'est Herménégilde qui doit aller se faire retirer ses bouchons de cérumen chez l'orl. De plus en plus, je trouve, mais dites-moi ce que vous en pensez, on est dérangé pour du grand n'importe quoi de rien du tout, une arrivée en retard parce qu'il a fallu dégivrer la voiture ce matin, un goûter oublié pour la garderie du soir qu'on vous remet précautionneusement dans une petite boîte. 

L'autre jour, on a sonné pour me remettre des chaussettes, parce que Zénildor s'était plaint ce matin sur le chemin de l'école que celles qu'on lui avait mises ce matin glissaient dans ses bottes.

 

* billet inspiré par cette lecture ce matin. 

(Non, on n'a pas d'interphone, juste un visiophone, ce qui ne nous avance guère puisqu'on n'y voit pas grand'chose d'une part, et que par ailleurs on ne peut pas demander qui que quoi dont où lequel, ni Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage?)

dimanche 5 janvier 2025

2025

[Fin du grand suspense, on n'a pas eu de neige à Noël, mais on a eu du chauffage in extremis le 23 décembre, j'ai pu recevoir toute la tribu. Bébézou se foutait royal de Noël, ce qui l'intéresse c'est de regarder tout partout tout le monde et de se marrer alors même qu'elle est écrasée de bisouilles de câlins d'attentions à ne plus pouvoir respirer, pauvre petite.]

Allez, parlons peu mais parlons bien, voulez-vous? Pour cette nouvelle année, je vous souhaite ce que je me souhaite:

des ronrons, des rêves, des orangettes,

Mika dans votre playlist et un beau Danois dans vos films, 

des balades sur la plage en hiver, 

des souvenirs heureux et des perspectives réjouissantes,

le goût du sel sur vos lèvres après une baignade, 

un petit bébé potelé dans vos bras, 

du nougat tendre, 

des livres auxquels on pense encore longtemps après les voir lus,

des rires à en avoir mal aux joues,

des mots d'enfant,

des pâtes de fruits,

du thé servi dans de la porcelaine,

quelqu'un qui vous rassure,

encore un peu d'espoir et peut-être être encore quelques illusions, 

un chat qui vient se blottir contre vous sous la couette le matin, 

un chouïa de cannelle dans votre chocolat chaud, 

des amis qui écoutent, 

des projets de voyage,

de nouveaux départs.

 

Post scrotum: j'ai enfin pu ouvrir un livre, plusieurs, même, et je recommande chaudement Summer, de Monica Sabolo, je n'ai en revanche pas ouvert mon ordi pro, ça attendra bien demain, dites donc.