Bellzouzou, Pensées profondes, livre XIII verset 126:
"Un blog, ce n'est pas ce qui vous arrive. C'est ce que vous choisissez de dire de ce qui vous arrive, et comment vous le dites."

Bellzouzou, Pensées profondes, livre XXIV verset 777:
"Tout est vrai, seul le reste est (peut-être) faux."

mercredi 28 février 2007

traduction sous le manteau.

L'autre jour, mon ours était nu devant moi. A vrai dire, il ne pouvait plus rien me cacher, il était même obligé de se dévoiler encore plus, c'est dire dans quelle embarrassante position il se trouvait. Au départ, les choses semblaient pourtant s'engager le mieux du monde: mon ours (qui bien souvent se moque de moi qui ne parle pas un mot d'espagnol, lui qui se débrouille si bien) avait réussi à trouver des fous à lier âmes charitables pour garder nos nains et la bête féroce pendant notre semaine en croque-love à Madrid.
L'ours était donc ravi, pensez donc: non seulement j'allais lui en être éternellement reconnaissante et dévouée, mais en plus, il aurait droit à coup sûr à certain petit extra que je réserve toujours pour les fois où je suis particulièrement contente de lui, hum.
Mais dans sa hâte de me faire savoir combien il en avait sous la ceinture le couvercle, il a commis l'erreur très fatale de m'annoncer la bonne nouvelle trop tôt, parce que je lui ai demandé s'il avait aussi déjà réservé l'hôtel. D'abord, l'ours a verdi, avoué qu'il avait oublié, puis annoncé qu'il allait le faire sans tarder, mais pas tout de suite, parce que c'était l'heure de la sieste en Espagne. Il a ensuite décrété que c'était plus pratique d'envoyer un mail tout compte fait, et qu'il fallait que je le laisse seul devant l'ordinateur pour qu'il puisse se concentrer.
Le soir, en tapant chez gougueule ma requête quotidienne habituelle "quoi de neuf dans l'actu de George?", je suis tombée tout à fait par hasard sur l'historique des recherches, et notamment sur
"traduction français/espagnol
comment traduire un texte français en espagnol?"
(l'avait juste oublié de taper aussi: "comment faire pour que ma femme ignore que j'ai eu besoin de me faire traduire un texte de conversation- courante- de base- de 3 lignes- dans une langue que je me vante d'avoir étudiée brillamment et appréciée 5 ans durant à l'école?")

mardi 27 février 2007

Devinette.

Devinez un peu où je m'envole dans quelques jours? Quelques indices pour vous aider parce que c'est difficile.


indice n°1: on en mange depuis une semaine chez Bellzouzou pour s'y habituer l'estomac.




Indice n°2:
j'emporte ça dans ma valise.




indice n°3:
c'est la capitale d'une péninsule.


Si vous trouvez, c'est que vous êtes très forts.


Allez allez, on pose son crayon, je relève les copies.
(le premier qui trouve a gagné une assiette de tortilla au chorizo et queues d'écrevisses. Lot de consolation pour le deuxième: un verre à dents ayant servi à Juan Carlos durant le putsch de 1981).

lundi 26 février 2007

Avec préméditation

Minipuce s'approche de moi tenant dans la main un collier qu'elle agite sous mon nez comme un pendule, tout en faisant les gros yeux qui roulent bizarre. "Attends, je t'hypnotise pour que tu soye morte, comme ça j'aurai tous tes bijoux."
Y 'a t-il un psy pour sauver ma fille?
(Oui, je sais, c'est encore un coup du gars Oedipe, mais quand même: j'ai du mal à dormir la nuit, je ne me sens plus tout à fait en sécurité chez moi.)

dimanche 25 février 2007

Pôv' Paul-David

Brisefer: Tu sais pourquoi mon copain Paul-David il s'appelle comme ça? parce que sa mère voulait l'appeler Paul et son père David, comme ça ils étaient contents tous les deux!! mais c'est Paul-david qu'est pas content, j'te ferais dire...
Moi: ah? et pourquoi il ne trouve pas moyen d'être content, Paul-David, avec un prénom pareil, je te prie?
Brisefer: Ben, à cause de ses initiales, tiens!"

vendredi 23 février 2007

Qu'on me jette la première pierre (bénie).

Bon les gens, je sais que je vais me faire des zennemis, surtout parmi les voisines de prie-dieu de Marie-Dominique, dame de cathéchisme, mais que voulez-vous, il fallait bien que je partage avec vous ZE nouvelle du jour de mon canard fétiche* qui m'a rendue presque mourrite de rire ce matin au petit déj'.

Figurez-vous que c'est très commun d'aller à l'école privée catholique sous contrat de mes deux tétons.

Il y a bien plus grande classe, je vous signale.

C'est d'aller bientôt à l'école privée catholique sous contrat qui est en train de se construire à Chartres à vitesse grand V/grande croix -normal, quand son entrepreneur s'appelle Dieu- et surtout, les gens, dont la première pierre a été bénie.


Si.




Vous m'en direz tant, hein.

*L'écho Républicain

jeudi 22 février 2007

Bonbloganniv'!

Bon aujourd'hui, les gens, c'est un jour très spécial. Un an de blog, ça se fête gaiement, non? Oui, mais non. Depuis plusieurs jours, je me dis qu'il faudrait marquer le coup. Mais va savoir, j'ai pas trouvé l'envie le courage de vous pondre quelque chose de vraiment original.
Disons que j'ai eu une crise de flemmingite aiguë. Plus une désinspirationnite foudroyante.
Une envie de glandage, mais pas une petite glandouille, hein, le glandouillage in-té-gral-et-to-tal.
Alors, je ferai bref. Et très banal, à mon grand regret.
Je remercie ma mère et mon père.
Je remercie Angel et Ron, qui m'ont donné envie.
Je remercie celles qui ont eu la gentillesse de m'aider techniquement et il y avait du boulot vous pouvez me croire: Sophie qui m'a appris à faire les liens, Dodinette les ratures, Angel-encore elle- tout le reste. Merci les filles, je vous coucherai sur mon testament.
Je remercie mes lecteurs/ commentateurs réguliers et irréguliers, de longue ou de récente date: Aglaé, Alinéa, Alix, Amandine, Benoît (pape), Bismarck, Calorine, Herminie lapereau de Laprose (conseillère conjugale), Liliduciel, Céline, Chris de Paris, Claire, David, Eddie, Estelle, FD, Flow, François, Fred, Hélène, Jid, ktl, Le Caribou, Laflote, liaht, Luna, Loréal, Marie-dominique (dame de cathéchisme), Melchior, Myriam, Moukmouk, Névrosia, Poupoule, Sand, Sarah, Shalima, Silo, Soeur Anne, Tanette, Telle, Tirui, tto2, mes blogocop' qui se reconnaîtront, les cop' de la vie vraie qui se reconnaîtront zaussi. *
Je remercie tous ceux que je lis en silence, sans laisser de trace.
J'aime l'idée que certains de mes lecteurs me connaissent pour de vrai, même si je me sens parfois prisonnière des limites de ce que je peux écrire.
J'aime l'idée d'être lue par de parfaits inconnus.
J'aime l'idée que certaines personnes me lisent tout en ignorant que je sais qu'elles me lisent, -hé hé, comment chuis trop démoniaque-
Je pourrais aussi vous dire que jamais je n'aurais cru tenir un an à écrire mes bêtises, que parfois dans la journée j'imagine ce que je vais vous raconter le lendemain, et j'arrive là à l'instant précis où, si j'étais sentimentale, je verserais une petite larmichette, mais comme il est de notoriété publique que je n'ai pas plus de coeur que de beurre en broche, je vous préviens seulement que z'avez intérêt à faire péter les comm' pour mon anniv', non mais sans blague!
(*hein que si j'avais été star de cinéma, le rêve de toute ma vie, j'aurais mérité de recevoir le césar d'honneur, rien que pour ma liste de remerciements? Eh ben c'est tant mieux, parce que j'f'rai pas ça tous les jours!-copyright Marie -Pierre Casey-, star de Pliz et de ma jeunesse)

mardi 20 février 2007

Un message subliminal de Geogeo pour moi.

Les gens, vous me décevez beaucoup.

Quand je pense qu' il y a depuis au moins deux semaines dans un magazine féminin à très grand tirage une interviouve de George, et que personne (pas une personne, entendons-nous bien) ne m'en a avertie, j'ai le spleen.

Moi qui pensais compter des ami(e)s dans la blogosphère.

Evidemment que moi, je le savais. Evidemment que je l'ai lue le jour même de sa parution.

Mais j'attendais que quelqu'un me le signale, pour voir.

J'ai pas été déçue. (Ou plutôt, si, je suis très déçue, les gens, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, hein.)

De toute façon, je suis au regret de vous dire que vous ne gagnez rien à me cacher les déclarations de George, parce que primo je suis toujours au courant, et secundo, il y fait toujours des tas d'allusions fines et très personnelles qui me sont destinées et que je suis seule à comprendre (vous seriez donc bien avancés de garder pour vous des choses que vous ne savez pas déchiffer).

Aaah, vous pouvez ricaner, mais moi je sais bien que George m'envoie, par déclarations interposées, des messages subliminaux -naan, pas comme Dieu avec les Häagen*Dazs l'ôt'jour, agh, c'est beaucoup plus subtil-.

Non, je ne deviens pas mythomane. C'est simplement que je sens que quand George déclare "le mariage non merci!", il m'envoie un signe fort, genre: je sais que tu es déjà mariée -avec un ours- et que tu es prise au piège comme un animal sauvage, ce que je te propose, moi, c'est autre chose, mon amour.

(Ah ah, c'est la jalousie qui vous étouffe, hein?)

Je sais aussi que quand George se plaint de porter une minerve autour du cou, il m'appelle au secours, il me signifie subtilement qu'il aurait bien besoin de moi pour lui détendre les cervicales et accessoirement lui tendre les corps caverneux et spongieux quelque part.

Mais c'est normal que vous ne captiez pas les messages: ils me sont adressés perso, voilà tout.

Allez, j'arrête là.

Je ne voudrais pas avoir l'air de me vanter.

C'est pas du tout mon genre, d'ailleurs.

Par contre GEOGEO, mon chouchou tu peux t'abstenir de faire des déclarations style "qui a dit que j'ai 45 ans? j'ai 23 ans!" : j'aime les hommes mûrs, moâ, hein?

lundi 19 février 2007

Brisefer le petit poète.

- Tu sais, mon copain C., il a une maladie très graaave, tu sais, celle qui commence comme les roues...
- ...???!!
- ah, la pneumonie, c'est ça. Il paraît que c'est la maladie la plus grave...(songeur) et la maladie la moins grave, tu sais ce que c'est, au fait?? (égrillard) hi hi, j'parie que tu sais pas ce que c'est, toi !!!
- (au hasard) un rhume?
- (explosant) mouhahaha, naaaan, c'est la maladie d'amour !!!!!*
* non, les gens, j'vous juuuuuuuuure qu'on n'écoute pas Sardou chez nous.

dimanche 18 février 2007

petite annonce très sérieuse.

Bellzouzou cherche copine(s) pour l'accompagner ré-gu-liè-re-ment à la piscine - pas du genre phobique mais pas du genre Laure Manaudou non plus, plutôt de mon genre: une longueur/ 15 minutes de bavardage au bord du bassin/ une longueur...-, comparer la longueur de nos poils aux pattes, rigoler et mater les fesses des beaux gars. Je précise que si je ne vous propose pas de draguer les maîtres nageurs c'est qu'ils sont particulièrement hideux, par contre, à la piscine de Chartres on voit souvent des sosies, ce matin c'était Gillot-Pétré, mais on peut espérer mieux, un jour j'ai vu BHL -sans Arielle-. Etudie toute proposition.
Ecrire au blog qui transmettra.
Pas sérieuse, s'abstenir.

vendredi 16 février 2007

Pour tout vous dire, dans l'exercice de mes fonctions, j'ai l'habitude qu'on m'appelle par toutes sortes de petits noms affectueux: cela va du pas compliqué "héééééééééé" à "maîCreeeeesse", en passant par Bellzouzou, voire Madame Bellzouzou (là, je me sens comme presque une Inspectrice de l'Education nationale et je gonfle la poitrine à m'en faire éclater le cache-tétés, oui, j'en porte un pour aller travailler.)

Pour ne rien vous cacher, j'ai aussi l'habitude de me faire appeler bien malgré moi "Maman" par mes petits élèves.
Avant d'en être une pour de vrai dans ma privat'laïfe, j'avoue que ça me faisait tout drôle.
Mais on s'habitue à tout ma bonne dame, la preuve: c'est tellement courant que je ne relève même plus, et puis ça fait toujours tellement rire ces chers petits que c'est pas perdu pour tout le monde, hein.


Pourtant aujourd'hui, j'ai singulièrement manqué de recul et d'humour.
J' ai envoyé un mioche direct au coin jusqu'à l'heure des mamans.
Non parce que ma patience a quand même des limites, hein.
Aujourd'hui, pour la première fois de ma carrière vie, je me suis fait appeler -c'est à peine si j'ose vous le dire, y'en a encore qui vont ricaner c'est sûr- "Mamie".


Le premier qui le répère un peu pour voir taaaare sa gueule à la récré.


jeudi 15 février 2007

J'ai la berlue ou le Tout Puissant me fait signe?

Je pense que Dieu a voulu m'envoyer un signe.
Ça aurait pu limite m'intéresser, mais j'ai fait celle qui ne captait pas les signaux, juste parce que là, c'était vraiment pas le moment. Non, penchée -à moitié tombée dedans en fait- au dessus du bac à congélos de l'intermarket, haletante et concentrée, mon respectable derrière de mère de famille impudiquement offert à la face du monde, c'était vraiment pas le moment, franchement.
Je pense que le signe que Dieu m'envoyait était à peu près celui-ci: tu vois, Bellzouzou, si quelqu'un (ton ange gardien) a placé les pots de Häa*gen-Da*zs tout au fond, là où -la faute à tes même pas 60 cm de jambes, arquées en plus- tu ne peux accéder qu'en grimpant au péril de ta vie et de ta french manucure sur ton chariot, il y a une raison. Reconnaissez que c'était un signe puissant, hein. C'est vrai que tout semblait indiquer que je devais renoncer.
Vouloir me signifier que c'était mon Destin et qu'il ne fallait pas que j'insiste, c'était bien tenté, mais croire que j'allais me laisser faire, c'était débile congénital profond, non?
Ouais, penser que j'allais laisser tomber si facilement, c'était mal me connaître, et c'était craignos, c'est tout. (Surtout pour quelqu'un comme Dieu, je trouve.) J'ai donc tourné le dos à mon karma, et j'ai pris mon pot sans vergogne, tiens.

mardi 13 février 2007

Toi aussi, dis merdézut à la çinvalantain!

Qu'on se le dise: Bellzouzou aime son ours avant le 13 (inclus) et après le 15 (inclus) février. Le 14, tous les coups (bas) sont permis, youpiii.

dimanche 11 février 2007

Un dimanche chez les Ricoré Bellzouzou

Le bonheur, croyez-moi les gens, c'est simple comme un rôti -frites, pas la peine de chercher midi à quatorze heures, hein.




Seul inconvénient (mais majeur): passer l'après midi avec l'appréhension des fumets puissants que je ne manquerai pas de recevoir dans le reniflard en allant me coucher ce soir auprès de mon ours (le coup des oignons, terrible retour du bâton de la félicité familiale, aaaaaaaah il passe ça sous silence, hein, l'ami rico*ré.
C't'arnaque, non mais j'vous jure.)

jeudi 8 février 2007

Aujourd'hui, les gens, fut une épreuve. Pas pour tout le monde, je sais. Brisefer, par exemple, était bien content d'emporter à l'école un paquet de carembars maxi size 25%gratis pour fêter dignement ses 10 ans. Mais épreuve probablement pour son maître qui a donné, préparé ou improvisé l'histoire ne le dit pas, un cours d'éducation sexuelle, dont Brisefer a retenu une sombre histoire d'ovule qui ressort (?) et est rattrapé par des spermatozoïdes s'il y en a un, c'est un bébé, s'il y en a deux, c'est des jumeaux.
Et épreuve surtout pour moi.
Je vous jure, les gens, que je ne souhaite à personne de se lever le matin en se disant ça y est j'ai un fils de 10 ans.
Pas même à mon pire ennemi.
Pas même à ma belle-mère, c'est dire.
Le premier qui me dit me dit qu'on peut avoir l'air jeune, même avec un fils de 10 ans, je lui file la chtouille ravage la crête. Je suis jeune. (Aaaah, plaignez-moi, les gens.)

mercredi 7 février 2007

Bourricot.

- aujourd'hui, le maître s'est pris la tête dans les mains et puis il m'a traité de "bourricot, va!" - diantre, qu'est-ce que tu lui avais dit? - il demandait le nom d'une île grecque et je lui ai dit Madagascar, mais c'est parce que j'avais pas bien entendu! (technique typiquement briseférienne, ndlr) Tu te rends compte (outré) me traiter de bourricot!!
Bah oui, mais peut-être qu'il s'est rappelé que la semaine dernière à ton contrôle d'histoire, tu lui avais aussi écrit que les Arabes repoussés à Poitiers par Charles Martel arrivaient de Scandinavie. hum.
(Alinéa, au secouuuurs!)

mardi 6 février 2007

Je rigole plus.

Hier je plaisantais avec la pilule-pet, mais au fond de moi, j'étais toute bouleversifiée.
Je ne voulais pas vous inquiéter outre mesure, alors je n'ai rien dit, mais aujourd'hui, il FAUT que je vous en parle, j'ai la rate au court-bouillon, je ne peux plus garder ça pour moi.
Depuis quelques temps, à Chartres, il se passe une chose effroyable.
Autant vous dire que la Minouchette ne goûtera pas à la vie sauvage de sitôt avec ses 25 cm de corde cadenassés au lit de Minipuce qui m'a juré de ne dormir que d'un oeil (elle m'a montré comment) et de crier treèèès fort (elle m'a montré comment aussi) au cas où le voleur viendrait jusque chez nous pour la kidnapper.
(comme je sens que ça vous intéresse rudement c't'affaire, les gens, je vous tiens au courant de l'avancée de l'enquête régulièrement, hein.)

lundi 5 février 2007

L'odeur musquée de la rose des vents.

Vous n'êtes pas sans ignorer que chaque matin au réveil je me réjouis d'avance à l'idée de ce que je vais bien pouvoir trouver dans mon canard.

Franchement, à ce prix-là, 0€ 85 tous les jours, c'est donné quand on pense qu'on est tout de suite averti si Germaine du lieu-dit Gélainville a 100 ans et si Gaston a gagné sans tricher une rape à fromage au loto de l'Amicale des anciens.

Surtout que des fois, oye oye, bonnes gens, c'est des nouvelles toutes fraîches qui sentent bon la rose, ce qui ne gâte rien.

Tenez, l'autre jour, par exemple, qu'apprends-je?

Un gars de par chez moâ, aaaaaaaaaah c'que j'suis toute fièrotte, Christian Poincheval*, vient d'inventer la "pilule pet" qui sent trop bon par où elle passe et qui vous parfume les queues de renard en moins de deux.

Si.

L'alchimie parfaite, à la rose ou à la violette, vous avez le choix, et bientôt la gamme de parfums sera même étendue, 'tits veinards.

Maintenant vous pouvez lâcher Médor en toute tranquilité, on vous y encourage même, pour voir si c'est efficace, non parce que faudrait quand même pas que ce soye pour rien que Christian se soit bousillationné le corps-il a testé sur lui même- pendant des mois pour vous faire les prouts de première fraîcheur. Mais il ne le regrette pas, ça valait le coup pour "la paix des ménages" et parce que "les flatulences, ce n'est pas toujours agréable, surtout en société" et on ne peut qu'être d'accord avec lui, dites un peu le contraire, pour voir.

Et c'est pas fini: bientôt, vous pourrez même transpirer peinard-mon Saint- Bernard, Christian planche pour votre mieux- être sur le concept de sueur aromatisée.

Autant vous dire que tout le monde est concerné.

Alors on dit merci à Christian Poincheval, c'est quand même la moindre des choses, hein.

(et on s'abonne vite fait à l'Echo, si c'est pas déjà fait.)

* déjà inventeur célèbre du papier toilette de poche en 2004

dimanche 4 février 2007

Que je vous raconte un peu mon dimanche

Véhiculé deux pongistes en shorts courts dans le département voisin; discussion dans la voiture: les différents bois des raquettes, comment gagner des points dans le classement, les rencontres impromptues avec des sangliers (comment ça doit être trop de la balle!) et last but not least: faut-il parler d'urinoirs ou de pissotières (véridique)?
Commenté les matches à Bellzouzou l'aïeule, venue en voisine, que je crois que j'ai raté ma vocation de chien d'aveugle ("mais non, (Brisefer) n'a pas rattrapé la balle, oui, elle a bien tapé ses deux côtés de la table, OUI, je t'assure, IL Y A BIEN UNE BALLE, ils ne font pas juste les gestes pour de faux") ou de diplomate, tiens ("mais non, l'arbitre n'est pas nique de mèche avec l'adversaire de ton petit-fils pour tricher aux points, et on ne va pas aller lui toucher deux mots tout à l'heure.)
Enduré le coaching sauvage de certains parents; supporté notamment derrière nous les "vas-y, poupée (sic), alleeeeeeeeeeeeeeeez ma princesse, reste dans le jeu ma belle, elle (l'adversaire) va se fatiguer!!! Laisse- la perdre toute seule!!" ou "c'est pas l'autre (son adversaire) qui est meilleure, c'est (la princesse/ poupée) qui lui donne des points!!"
Alors, la Bellzouzou elle a t-y point mérité d'aller se coucher tout de suite, hein*?
(*pardonnée de ne pas avoir la force de trouver le mot de la fin?)

jeudi 1 février 2007

Dans la culotte.

Quand avec les coupines à la sortie des classes on parle de truc de filles, rééducation du périnée après naissance de nains qui n'ont pas fait que nous gâter la taille de guêpe, genre, et que Brisefer qui a toujours les écoutilles qui traînent nous déclare doctement,"ah oui, à la maison, on en a jeté plein, l'autre jour, des (yaourts) périmés", ben on se concerte d'abord de concert pour s'assurer qu'on a bien compris la même chose, puis on pouffe en choeur, et c'est là, les gens, qu'on voit de façon indiscutable laquelle a le périnée le plus périmé (non, c'est pas forcément moi).