Alooors, ces vacances, merci de demander maintenant qu'elles sont déjà presque (nan, rien)?
Je reste chez moi et ça me fait un bien fou.
C'est l'occase de lire, lire et lire et d'aller au ciné (autant que la programmation merdique de Chartrescitymaville me le permet), de visiter mon fils chez lui (bon alors t'es restée chez toi ou bien, la Zouzou?), de démonter le lit d'enfant de Minipuce pour le remplacer par un lit deux places (tu as bien lu: Minipuce aura vingt ans dans un mois et un Roucoulicoucou (celui-là, elle l'a déjà), il était temps de le faire, je crois), de jardiner un peu dans mon jardin jusqu'à ce que courbatures s'en suivent (très vite, en fait), de passer une journée dans le Perche avec l'Ours (restée chez toi, hein?), de poti-lunch-théer ici et là avec les copines, et (last but not least) de jouer au bouchon et au pompon avec Mina (chacun ses plaisirs, si vous n'aimez pas jouer au bouchon et au pompon, n'en dégoûtez pas les autres).
[Côté lecture, j'ai beaucoup aimé Nous étions nés pour être heureux de Lionel Duroy (que j'aime toujours beaucoup)(je me répète avec mes j'aime beaucoup-j'aime beaucoup) et qui raconte ici sa réconciliation d'avec ses frères et soeurs (et, dans une moindre mesure, d'avec ses deux ex femmes et mères de ses enfants) lors d'un repas de famille chez lui. On est davantage chez les Bisounours que d'habitude chez Duroy, forcément, on fait bonne figure et on semble enterrer les ressentiments, mais il n'en reste pas moins que le souvenir des blessures de l'enfance est toujours là.
J'ai bien aimé aussi Quelle n'est pas ma joie de Jens Christian Grøndahl (un Danois, en plus), le récit tendre et nostalgique d'une histoire familiale originale.
Côté ciné, vu sans enthousiasme mais sans déplaisir non plus Alice et le maire, attendu vainement qu'il se passe quelque chose et pas compris tout ce foin autour du film. Vite vu vite oublié.
Vu aussi Sorry we missed you, de Ken Loach, qui fait du Ken Loach (on est heu-reux de ne pas vivre en Angleterre) et c'est très bien quand même, comme toujours.
Et l'Ours était très fâché que je l'aie emmené voir "une merde". Joker, en l'occurence. Mais ça se laissait regarder, je dis, même si c'était pas bien intelligent et assez violent, (et puis Joaquim Phoenix, hein, j'étais o-bli-gée d'aller le voir).]
C'est l'occase de lire, lire et lire et d'aller au ciné (autant que la programmation merdique de Chartrescitymaville me le permet), de visiter mon fils chez lui (bon alors t'es restée chez toi ou bien, la Zouzou?), de démonter le lit d'enfant de Minipuce pour le remplacer par un lit deux places (tu as bien lu: Minipuce aura vingt ans dans un mois et un Roucoulicoucou (celui-là, elle l'a déjà), il était temps de le faire, je crois), de jardiner un peu dans mon jardin jusqu'à ce que courbatures s'en suivent (très vite, en fait), de passer une journée dans le Perche avec l'Ours (restée chez toi, hein?), de poti-lunch-théer ici et là avec les copines, et (last but not least) de jouer au bouchon et au pompon avec Mina (chacun ses plaisirs, si vous n'aimez pas jouer au bouchon et au pompon, n'en dégoûtez pas les autres).
[Côté lecture, j'ai beaucoup aimé Nous étions nés pour être heureux de Lionel Duroy (que j'aime toujours beaucoup)(je me répète avec mes j'aime beaucoup-j'aime beaucoup) et qui raconte ici sa réconciliation d'avec ses frères et soeurs (et, dans une moindre mesure, d'avec ses deux ex femmes et mères de ses enfants) lors d'un repas de famille chez lui. On est davantage chez les Bisounours que d'habitude chez Duroy, forcément, on fait bonne figure et on semble enterrer les ressentiments, mais il n'en reste pas moins que le souvenir des blessures de l'enfance est toujours là.
J'ai bien aimé aussi Quelle n'est pas ma joie de Jens Christian Grøndahl (un Danois, en plus), le récit tendre et nostalgique d'une histoire familiale originale.
Côté ciné, vu sans enthousiasme mais sans déplaisir non plus Alice et le maire, attendu vainement qu'il se passe quelque chose et pas compris tout ce foin autour du film. Vite vu vite oublié.
Vu aussi Sorry we missed you, de Ken Loach, qui fait du Ken Loach (on est heu-reux de ne pas vivre en Angleterre) et c'est très bien quand même, comme toujours.
Et l'Ours était très fâché que je l'aie emmené voir "une merde". Joker, en l'occurence. Mais ça se laissait regarder, je dis, même si c'était pas bien intelligent et assez violent, (et puis Joaquim Phoenix, hein, j'étais o-bli-gée d'aller le voir).]