Bellzouzou, Pensées profondes, livre XIII verset 126:
"Un blog, ce n'est pas ce qui vous arrive. C'est ce que vous choisissez de dire de ce qui vous arrive, et comment vous le dites."
Bellzouzou, Pensées profondes, livre XXIV verset 777:
"Tout est vrai, seul le reste est (peut-être) faux."
jeudi 29 avril 2010
Où parfois j'ai l'impression de jouer dans un film.
mardi 27 avril 2010
Rigolo comme un Allemand.
jeudi 22 avril 2010
Ça saute aux yeux.
" Bellzouzou: alors comme ça, S. (oui, c'est bien elle), tu as quatre yeux?
- S., sérieuse comme un pape: bah non, ceux-là-du-milieu, c'est mes yeux dans les joues quand je rigole!"
mercredi 21 avril 2010
La nouvelle vocation de Puceminus
[Rien à voir, mais lis quand même: je cause toujours un peu de la même chose je sais je sais, mais aussi est-ce ma faute si la France de Sarkosy elle pue autant du cul ? ]
dimanche 18 avril 2010
jeudi 15 avril 2010
(un petit peu)(mais presque plus) en vacances.
mardi 13 avril 2010
Mon fils est un artiste.
lundi 12 avril 2010
Mon homme est un artiste
dimanche 11 avril 2010
Ma fille est une artiste (2)
samedi 10 avril 2010
Ma fille est une artiste (1)
mercredi 7 avril 2010
En vrac et en pas rangé (et avec plein de méchanceté dedans).
Des fois, en me promenant sur les blogs, j'explose de rire à m'en faire péter les amygdales, ici tiens par exemple (j'ai envie de me faire des copines), où on vous explique le plus sérieusement possible, (j'entends par là que c'est bien le premier étage du premier degré, hein, j'ai vérifié) que matin et soir, moâ je prends soin de moâ, je me mets pas moins de 18 produits de beauté successivement sur la tronche -j'ai compté, je vous jure-, voilà c'est mon rituel beauté du visage à moâ, vous devriez faire tout pareil si vous voulez être une vraie fille comme moâ. (Passe-moi l'pot que j'pête.)
mardi 6 avril 2010
Emballé c'est pesé.
et/ou (coche la réponse qui convient) qu'il est aussi du genre à trouver des oursins dans ses poches quand d'aventure il y met la main.
Bref, l'ours ne m'offre pas souvent de fleurs, et s'il le fait, c'est que je le lui ai expressément réclamé. Doncques tu devines bien qu'un bouquet de fleurs, chez les Bellzouzou, c'est tellement exceptionnel que ça appelle les questions comme s'il en pleuvait du pistil et ne viens pas te plaindre, hein. L'autre jour, j'en ai eu un, victoire! Par conséquent, après avoir questionné leur père sur le qui que quoi dont où lequel de la chose, les enfants ont naturellement voulu savoir combien ça lui avait coûté tout ça.
Et là mes zamis, silence radio. L'ours faisait son coquet. Rien à faire, même les clés du code nucléaire elles n'étaient pas aussi bien gardées que ce secret-là. Il poussait même jusqu'à prendre son petit air pudique qui sous-entendait la valeur du présent.
Jusqu'à ce que Minipuce, plus maligne que le Malin n'en doutez plus, ait l'idée d'aller zieuter dans les talons du chèquier de son père. ( En fait, il suffisait d'y penser, attendez que je vous essplique: l'Ours, quand il sort son chéquier, il te remplit le talon que plus consciencieusement tu meurs, il tire la langue et de sa plus belle écriture il te raconte le roman de sa vie thèse antithèse synthèse et synthèse de la synthèse, genre: " 11 janvier 2010 au soir: 2 formules un plat/ un dessert au restaurant la truie dodue avec [Bellzouzou]" -j'ai beau lui demander quelle autre jolie fille il pourrait y amèner, il persiste-, ou: "intermarché des trois ponts le 12 mars 2010" c'est tout juste s'il n'écrit pas pour s'en souvenir qu'il a eu du mal à trouver les cornichons ou qu'il a croisé Madame Robert la voisine entre le roblochon et le maroilles et qu'elle lui a causé du mildiou et de son arthrite aux dents).
Dans le talon du chéquier, donc:
vendredi 2 avril 2010
Les lendemains qui chantent (hum).
ce matin à l'école, apprenant, ôtant la feuille de l'éphéméride, que c'est Sandrine la sainte du jour (priez pour elle, mécréants!), ma petite S. (qui ne s'appelle pas Sandrine, nan) :