*EDIT (Hey, dites): Tu sais quoi?? les FFP2 reçus vendredi dont j'ai causé n'étaient pas pour nous, mais pour les atsems, fournis par la mairie, nous? ah ben on n'en a toujours pas, en fait.
Parlons d'autre chose, voulez-vous? [Pas d'un protocole sanitaire foireux qui permet à un petit dont la mère et les trois frères sont positifs et malades à la maison de venir à l'école avec un test négatif (en bonne et due forme, certes). Ni du cas positif dans une classe annoncé le mercredi fin d'aprèm aux familles qui ont (quasi) toutes remis leur enfant le jeudi matin 8H30 avec l'attestation sur l'honneur en bandoulière que le test avait été fait, et bien fait, (pendant la nuit, je suppose).
Ni des FFP2 qui sont arrivés en ce qui nous concerne*, vendredi. Il était temps, hein, on a failli attendre. Deux boîtes de 50 pour 8 adultes dans l'école, fais le calcul que même avec la meilleure volonté du monde on n'ira pas bien loin avec ça, même si tu es nullache en numération. ].
Ce weekend, donc, il en fallait des douceurs, belles choses et petits bonheurs à la praline, pour oublier un peu les horriiibles démangeaisons de l'arrière du crâne et de la nuque dont je suis depuis quinze jours et nuits, la victime innocente (je n'ai vraiment rien fait pour mériter un châtiment pareil) (je jure), pour oublier le gris, le froid, qu'on a l'impression d'être écrasée de fatigue, et qu'une semaine avec des réunions tous les jours midi et soir (j'exagère rien) nous attend (oui, je parle au pluriel, ça me donne l'impression d'être moins personnellement impliquée).
Les petits bonheurs du weekend, donc: (et tu me diras les tiens ensuite, hein?)
- les textos rigolos de ma copine Fred, qui tricote pour la troupe des joyeux théâtreux:
- la perspective d'un mercredi soir joyeux, avec la troupe, justement, et d'un vendredi soir tout pareil avec les copains chers.
- la razzia à la boîte à livres avec mon nouveau vélo: je ne reconnais plus personne, je l'adoore, je fonce, je vole dessus, je fais ma star, j'appuie sur le starter et voici que je quitte la terre, (que m'importe de mourir les cheveux dans le vent.)
- les premières primevères dans mon jardin (il est fou celui-là).
- Ouistreham, au ciné, qu'il fallait que je voie pour tout un tas de raisons, mais surtout Juliette Binoche, et Emmanuel Carrère, (et puis j'avais lu Le quai de Ouistreham de Florence Aubenas il y a quelques années).
- le dernier Nothomb, Premier sang, lu avec plaisir mais vite lu vite oublié, et surtout l'éternel fiancé d'Agnès Desarthe, très bien.
- les îles flottantes de ce midi. Tu le savais, toi, qu'il fallait cuire les blancs? (tu le savais et tu n'as rien dit??!) je l'ignorais, figure-toi, c'est ma belle-mère qui me l'a appris il y a quelque temps, elle était étonnée qu'on ne soit jamais tombés malades à les bouffer crus depuis des années, même. J'aime vivre dangereusement, il faut croire. Ah ben nous voilà quittes, a dit l'Ours, il pensait sans doute à sa colle dans le café.
Mon bonheur du week-end?
RépondreSupprimerUn apéro avec des gens venus de l'extérieur!!!
Et des gaufres maison cet après midi.
Moi je le savais, madame qu'il faut cuire les blancs d'oeufs des îles flottantes et si tu me l'avais demandé, je te l'aurais dit!! Cela dit je ne pense pas que ce soit dégueu cru alors il n'y a pas mort d'homme!
RépondreSupprimerAh et pour les bonheurs du week-end, ça a été un déjeuner au resto avec mon homme suivi d'une longue promenade en bords de Loire et retour bien au chaud devant un café fumant..le bonheur, non?
RépondreSupprimerTe lire, et rire, mon petit bonheur du dimanche soir !
RépondreSupprimerEn fait mon bonheur (mon soulagement plutôt) c'était d'être en we, tout simplement.
Après une semaine folle : 2 collègues covidées non remplacées, dont ma directrice, et qui c'est qui se tape le standard téléphonique dans ce cas-là hein ?,
un cas positif dans ma classe qui permet d'en découvrir plusieurs autres, + ceux qui étaient déjà covidés par le milieu familial,
des allers, des retours, des départs en cours de journée, des gastros,
plus que 11 élèves vendredi...
Dé-sem-parée. Impossible d'avancer dans le boulot dans ce fouillis généralisé.
Et pour la toute 1ère fois depuis 2 ans qu'on a les pieds dedans (il en faut une n'est-ce pas), mon tout 1er test en labo, ma toute 1ère fois en tant que cas contact...
Pas reçu de FFP2 nous, mais acheté de ma poche et porté depuis mercredi, je me sens davantage protégée quand même...
Combien d'élèves demain ? Mystère !
Je te souhaite néanmoins, ainsi qu'à tes lecteurs et lectrices, une semaine la moins mauvaise possible... Bise ! (négative ;-)
merci, Mimi! et courage!
SupprimerSi je ne cuis pas les blancs d'oeufs pour les îles flottantes, c'est parce que je n'en fais pas... Petit bonheur du week-end: aller chercher mon pain à pied par un froid sympathique (une promenade d'environ 4km) et nettement plus supportable que le -31° vécu outre-Atlantique par ma soeur.
RépondreSupprimerHeu... Je ne cuis jamais les blancs d' œufs montés... Quelle découverte !
RépondreSupprimerSinon, mon plaisir et tristesse du week-end, c'est d'avoir terminé un super bouquin qui m'a transportée en Amazonie "stupeur de l'anatomie" d'ann Patchett"
Et le commencement de la Bd "un monde sans fin" génial aussi, voilou
Bonne semaine !
Oups, "anatomie de la stupeur"
RépondreSupprimerje note, merci!
SupprimerIl a l'air de maitriser les blancs d'oeufs, ton Danois!!il pourrait t'apprendre des trucs..!
RépondreSupprimersûr! ;-)
Supprimermais je vais te faire une confidence: l'histoire des blancs d'oeuf cuits ou crus, c'est pas le tout premier truc dont je lui parlerai, à mon Danois..!
J'ai rattrapé tout mon retard du début d'année, et je suis encore dans les temps pour te souhaiter de beaux moments avec toute ta famille même si c'est compliqué d'aligner les agendas. Et je nous souhaite à nous tes lecteurs de nombreux posts de ta part, c'est un plaisir de lire tes aventures.
RépondreSupprimerJe suis bien contente d'avoir de grands enfants sortis de ce bloubiboulga de protocole à l'école (encore que ma fille la folle fais sont service civique en maternelle) .
Merci, Sabine, et tout pareil à toi!
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