J'ai bien cru qu'on n'y arriverait jamais (aux vacances). Surtout avec mes copines les bonnes grosses crève courbatures et fièvre associées qui se sont invitées les derniers jours, comme si j'avais besoin de ça, hein. Alors maintenant qu'on y est, je ne veux plus penser à rien (et surtout pas à la nouvelle élève qui m'est promise à la rentrée dans ma classe déjà (sur)chargée et pas si facile) d'autre qu'à l'organisation des festoyances en famille (qui se présentaient fort mal cette année, et puis par je ne sais quel miracle les planètes se sont mystérieusement alignées subitement parfaitement) (Et je suis toujours la Queen des adverbes. Incontestablement.)
Je vais donc passer ces quelques jours à profiter de mes ascendants, descendants et époux*, à ne rien faire, sauf: bien dormir (au moins les nuits où tous mes petits dormiront sous mon toit), et me goinfrer de pâtes de fruits et d'orangettes en lisant (enfin) tout ce qui est sur ma table de chevet, et notamment Sans preuve et sans aveu de Philippe Jaenada. Rien d'autre, je serais pas capable (je jure).
* [L'Ours-mon doufoudingue de mari, qui lit Spinoza pour le plaisir ET connaît le nom de certains personnages de la Pat Patrouille. On s'en est rendu compte, Puceminus et moi, alors qu'on parlait d'un certain Marcus, et qu'il s'est écrié comme un ressort Marcus, comme dans Pat Patrouille! A ce moment-là, je me suis pincée pour y croire, pour tout vous dire. On était sûres qu'il nous faisait marcher, mais vérification faite immédiatement, il s'avère qu'il connaît le nom d'au moins trois personnages, le truc de fou quand même. (Le gars qui retient des choses aussi utiles que ça, alors qu'il ne connaît pas la date de mon anniversaire, hein)].
Et comme je ne suis pas sûre de revenir ici d'ici l'année prochaine, je vous souhaite d'ores et déjà les fêtes joyeuses, mes amis, et vous embrasse, pour l'occase!