Je pourrais presque jurer que le père d'élève qui ce soir m'a demandé le plus sérieusement du monde si "c'est s é r i e u x ?? les poux, ça existe encore ???" quand je lui ai annoncé que son fils en avait plein les veuch', il le croyait
v r a i m e n t.
Ben ouais, quoi, les maîtresses, vous n'avez pas encore réussi à les éradiquer pour les empêcher de venir sur la tête de son adorable chérubin?
RépondreSupprimerIl y a même des puces dans le métro de paris, J'en porte une marque. Mais je te jure elle n'a pas eu la chance de piquer deux fois.
RépondreSupprimerHélas oui ça existe encore, voilà deux fois en un mois que j'ai le bonheur de passer une soirée à peigner et traiter mes trois têtes brunes (plus la mienne) sans oublier de changer et laver quatre literies d'un coup!
RépondreSupprimerHeureusement j'aime bien la nouvelle génération de produits antipoux qui essaie de les étouffer plutôt que de les (et nous) empoisonner. De mon temps c'était Marie Rose qui pique, et enveloppage de serviette pendant des heures.
Non, arretes, ne prononces pas ce mot, arrrg, trop tard, je me gratte la tête !
RépondreSupprimerah ouais, les poux ça existe encore?? tu vas me hair, mais je n'en ai jamais attrappé, et jamais mon fils ne m'en a rapporté!!!
RépondreSupprimerDinosaure!
RépondreSupprimerDis...et les mauvaises notes, ça existe encore ???
RépondreSupprimerUne seule solution : affubler toute l'école d'une charlotte sur la tête dès l'entrée de l'école, comme les surchaussures dans les crèches (vu à la télé !!!).
RépondreSupprimerCa existait plus quand j'étais petite (presque plus, je suppose, j'ai pas vérifié toutes les têtes).
RépondreSupprimerJe me rappelle de leur réapparition, sur la tête de mon frangin, comme une sorte de moucheron sur la frange blonde: ma mère a évoqué l'idée que, peut être, et on est allés vérifier dans le dico: oui, c'était bien un pou! et il était loin d'être solitaire.
A vue de nez, je dirais 1960.
Je me demande si tous les produits dont on les a arrosés ne les ont pas rendus indestructibles? En tous cas, ma belle soeur qui arrosait tous azimuts semblait avoir plus de mal que moi qui refusais de foutre des toxiques sur la tête de mes gosses (shampoing ordinaire pour enlever le plus gros, puis traque minutieuse des petits et des lentes, le tout répété plusieurs fois).