Mes petits zamis, j'ai eu une semaine de folie avec une représentation théâtrale et tout ce qui s'ensuit (conf de presse, séance de signature d'autographes, dîners mondains, photos pour la presse) (je vous fais pas un dessin), le premier de la longue liste des pique-niques avec mes petits élèves annoncés pour les jours à venir (avec la météo qui va bien), (hum), et du boulot et des trucs à faire ici et là par-dessus la jambe, un bac de français sur le feu, et last but not least, Brisefer mon fils à la maison depuis huit jours et croyez-moi, c'est l'occasion de ma rappeler tout ce que j'avais oublié cette année: comment c'est de remplir le frigo et de cuisiner en continu (c'est que ça mange, ces petites choses-là), et aussi que la question la plus fréquemment posée par Brisefer depuis qu'il sait parler (après Qu'est-ce qu'on mange?) est Quand est-ce qu'on mange (comment j'ai pu oublier un truc pareil, je ne me l'explique pas).
Bref, semaine de folie je disais, mais qui n'était rien à côté de celle qui m'attend, alors tout ça pour vous dire, mes petits zamis que le vrac micmac et foutrac du dimanche soir ça sera pour une autre fois et bien le bonsoir chez vous.
Allez: à taaaaable!* |
* rien à voir, mais fallait que je vous dise: j'ai eu hier l'occasion de constater combien Mads était moche dans Men and chicken, effectivement. (L'Ours exultait et me donnait des coups de coude dans les côtes pendant le film en braillant (comme c'est désormais, semble-t-il, sa nouvelle habitude au ciné)(mais l'honnêteté m'oblige à vous dire qu'il pouvait presque se le permettre: on était parfaitement seuls dans la salle) (et les proprios du ciné de Chartrescityville ne sont pas prêts de reprogrammer une comédie loufoque danoise de sitôt, si tu veux mon avis) T'as vu comme il est moche? non mais t'as vu comme il est moooche??) Mads y est moche indubitablement, certes, mais comme il y est également méconnaissable, je n'ai pas eu de peine à ne pas le reconnaître du tout du tout, et par conséquent: ce n'était pas lui, et Mads est toujours beau dans ma tête, ne vous déplaise.