Rhalala, mes bons amis, mais si j'avais le temps de venir bloguer par ici, il y a belle lurette que je l'aurais fait! Mais le mois de juin qui est déjà tout foufou celui-là d'ordinaire, s'est mis à devenir carrément dingue, et me voilà présentement avec des commandes à ranger, des listes à faire, des rendez-vous des réunions des concertations des bilans, une fête de fin d'année à préparer, une nouvelle école à visiter, une ancienne école à ranger, des procurations de vote pour le deuxième tour à faire valider, un cerisier tout rouge de cerises que je n'ai même pas le temps d'envisager d'aller cueillir (j'ai, je rappelle, un mari actuellement manchot pour presque tout (héhé) -mais qui va mieux d'une façon générale, merci de demander-, dont c'est en principe la mission, qui ne peut rien faire pour m'aider avec l'échelle cette année).
Cerise (pff) sur le gâteau, j'ai passé les derniers jours en coloc avec un bon vieux covid des familles de derrière les fagots (aucun symptôme, si ce n'est des vertiges impressionnants pendant trois jours, que, aidée du diagnostic médical toujours pointu de l'Aïeule-ma-mère, j'ai pris pour de l'hypertension, mais le pharmacien m'a suggéré de me tester parce que ça puait fort le covid et je lui ai rigolé un peu au nez, mais devinez quoi? covid.), et demain c'est classe verte avec mes petits (sans dec', pas de classe poney cette année, hallucine avec moi), et la météo a été bien bien pourritemoisite à Chartres et c'est pas fini (comme chez toi, il paraît, (dis-moi que toi aussi tu as passé ton dimanche 16 juin en pull à col roulé?) mais pas comme du côté de la Lozère où Puceminus fait du camping en maillot de bain et nous envoie des photos de ses coups de soleil).
Bref, ça finira bien par se calmer un jour, hein. Et puis d'ici-là, tu peux me donner des niouses, parce que c'est pas pour dire, mais ça s'est pas bousculé au portillon la dernière fois, hum.