L'ours mon mari, il n'y a pas plus sain que son alimentation (que sa vie aussi, d'ailleurs, du sport du sport du sport, le vélo pour ses déplacements, pas de substance illicite, casier judiciaire vierge plus que Marie): des légumes des fruits du poisson des oeufs, n'aime pas le sucré, jamais de graisse saturée rien d'industriel rien de transformé, seul petit péché mignon: le pain et le frometon, pas de quoi fouetter un chat sauvage, voyez. La diététique faite homme.
C'est bien pour ça que ce weekend, Puceminus ayant appris incidemment, l'affaire n'ayant jamais encore été révélée au grand jour et on comprend pourquoi, que son père, il y a peu, de passage chez l'aïeule Bellzouzou-sa belle-mère qui lui demandait ce qu'il voulait manger pour l'occase, lui avait réclamé, tenez-vous bien, des frites,
Puceminus, donc, proprement scandalisée, a lancé sur le WhatsApp familial une discussion de la toute première importance sur le sujet Nan mais si c'est pas honteux, not' père, toujours à manger ses choux de Bruxelles par devant, et ses frites par derrière, voyez le grand sournois! à laquelle sa fratrie indignée a participé dans les grandes largeurs elle aussi. La traîtrise absolue de l'irréprochable pater familias. Scandâle.
Mouahahahahahahaha*! Mieux vaut mourir tôt de trop de plaisirs (gastronomiques) coupables, que vivre centenaire en bouffant d'insipides brocolis à l'eau ! L'Ours, mon héros ! Et Thomas Dutronc aussi. *copyright feu-un-célèbre-caribou. P. s : Hier nous sommes allés voir "À bicyclette" et ce soir nous avons vu l'avant-dernier film de Michel Blanc, toujours pas de déception : vive le cinéma français !
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