Bellzouzou, Pensées profondes, livre XIII verset 126:
"Un blog, ce n'est pas ce qui vous arrive. C'est ce que vous choisissez de dire de ce qui vous arrive, et comment vous le dites."

Bellzouzou, Pensées profondes, livre XXIV verset 777:
"Tout est vrai, seul le reste est (peut-être) faux."

jeudi 1 juin 2006

nique 'Nique.

Ma bonne ville de Chartres est en effervescence. Oui, aujourd'hui est un grand jour.
Notre ami le grand 'Nique nous fait l'honneur qu'il est grand, qu'il est insigne de nous rendre visite.
Bah, comme disait élégamment son ami Jacques C., poète lui zaussi mais qui tient à garder l'anonymat, ça m'en touche une sans faire bouger l'autre, hein.
Sauf que je lis dans ma gazette que le Monsieur 'Nique, après son bain de foule et sa conférence de presse, a l'intention de s'en retourner à ses pénates de Matignon "vers 13 heures". Alors là, ça ne va plus, 13 heures, c'est justement l'heure à laquelle Bellzouzou s'en retourne auprès de ses chers petits élèves, et la route de l'école, c'est la même direction que Matignon dis donc! Mon ours qui lit par dessus mon épaule comme d'hab, me dit: "grande folle, il ne va pas venir en voiture, tu penses bien, mais en hélico pardi", mais voiture ou hélico, ça ne change rien quand même puisque l'aérodrome (j'ai failli taper l'hippodrome, quelle étourdie je fais quand même) est lui aussi sur la route de l'école et si vous m'croyez pas, regardez sur un plan non mais.
Si je vous dis ça, c'est que je ne tiens pas à être obligée de m'arrêter pour le laisser passer, question de principe, et que j'ai pas envie non plus de manger à la cantoche à cause du grand 'Nique, hein. Avouez que ce serait bête quand même.
Moralité: ce post est à l'image du grand 'Nique, même pas beau, un brin démago, beaucoup de mots pour (vraiment) pas grand'chose, parfaitement inutile, brassant de l'air, sans queue ni tête (pas d'chapeau pas d'braguette). Je m'arrête là, ça vaut mieux.
L'un comme l'autre, ils auraient sûrement mieux fait de rester au lit, tiens.

9 commentaires:

  1. Le voyage à Chartres
    Scène 1.
    PM: Je veux savoir ce que pense le peuple. Qu'on aille me quérir un échantillon représentatif.
    Scène 2.
    Conseiller: Voici le sujet, une enfant du siècle, Monsieur le PM.
    (entre Puceminus, la langue bien pendue)
    PM. Eh bien, parlez, peuple souverain!J'écoute ceux qui mettent la tête sous le sable, mais j'écoute aussi, etc.
    Puceminus (bien fort dans le micro:) A marre ! Eééé mèèèèèède !
    (Rideau, tandis que retentit l'hymne national et que l'hélico s'envole)

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  2. Ah non pas de politique demago sur ton blog si genial

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  3. En réponse au commentaire précédent, moi je trouve que c'est très bien d'avoir ses opinions et de les dire. Et puis, qui m'aime me lise...
    Catherine

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  4. Moi, je dis BEURK à nique'NIQUE...

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  5. Quand on voit ce qu'on voit, et qu'on sait ce qu'on sait,
    Concernant l'état de la France,
    On se miaule qu'on a, vous le dirai-je assez,
    Raison de penser ce qu'on pense.

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  6. Très drôlement dit ! J'espère qu tu as pu t'en retourner sans encombre... à l'école !

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  7. Je vois qu'il te reste des nouilles pour la fête des pères et faire quelques colliers des perles.

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  8. Ben, en même temps, si "les parkings étaient pleins", peut-être qu'il a passé son chemin, le monsieur... :0)

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  9. et alors il est comment???

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